ADHESION

AFC 2023 : pensez à adhérer ou à renouveler votre adhésion !

dimanche 13 décembre 2020

7e vente de Noël : MERCI !

Chers amis,

Un grand merci à tous pour votre participation à la réussite de notre 7e vente de Noël pour les Chrétiens d'Orient du WE dernier !
Merci pour : le prêt de la salle, la réalisation et la diffusion de l'affiche, la communication, les livres, images, miels, confitures, vins, huiles essentielles, objets de décoration, foulards, ... qui ont permis de faire un bénéfice de 1580,73 € € (en hausse de 15%), qui sera comme les précédentes années reversé entièrement aux associations venant en aide aux chrétiens d'Orient.
Merci à tous nos adhérents, amis et visiteurs de passage pour leurs achats !
Bon temps de l'Avent !



Avortement : le comité d'éthique titube comme un canard sans tête

 Communiqué de la CNAFC :

Avortement : le comité d'éthique titube comme un canard sans tête


Le Comité Consultatif National d'Éthique (CCNE) a rendu aujourd'hui une " opinion " sur l'allongement du délai légal d'accès à l'avortement de 12 à 14 semaines de grossesse, en réponse à la saisine du ministre des solidarités et de la santé faisant suite à la proposition de loi de la députée Albane Gaillot. Habilement, le Gouvernement n'avait pas demandé un avis de principe sur l'avortement, tant il sait la sensibilité du sujet dans l'opinion publique.


Le CCNE donne - une nouvelle fois - une position incohérente :

- il reconnaît volontiers que " la pratique d'une IVG ne peut être considérée comme un acte médical ordinaire ",
- il se dit défavorable à la suppression de la clause de conscience spécifique pour les médecins et les sages-femmes- il relève l'opposition du Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF) et de l'Académie de Médecine,
- il alerte aussi qu'un tel allongement de délai " alourdit de plus en plus " les conséquences psychologiques, tant pour la femme que pour le personnel médical.  
- il admet que les dysfonctionnements de l'accès à l'IVG " requièrent prioritairement une politique de santé ajustée aux problématiques soulevées, sans quoi l'allongement de l'IVG s'apparenterait à un palliatif non bienfaisant d'une prise en charge bienfaisante. "
 

Mais, de manière illogique, il conclut :

 
-  qu'au nom des " principes d'autonomie, de bienfaisance, d'équité et de non-malfaisance à l'égard des femmes, il n'y a pas d'objection éthique à allonger le délai d'accès à l'IVG de deux semaines passant ainsi de 12 à 14 semaines de grossesse ".


Les Associations Familiales Catholiques dénoncent cette opinion du CCNE. Au-delà de son incohérence, elles  y voient surtout une course effrénée au progressisme sociétal, dans laquelle la réflexion éthique n'est qu'un paramètre subsidiaire.


En 2001, les délais de la loi Veil sont déjà passés de 10 à 12 semaines : à partir de quel terme le CCNE osera-t-il enfin s'opposer à ces glissements ? À ne jamais défendre la vie à naître, le CCNE se condamne lui-même.  En effet, qu'est-ce qu'un comité d'éthique qui se satisfait d'entériner les courants libertaires majoritaires dans l'opinion ?


Les AFC demandent avec force que l'avortement, dont le nombre n'a jamais été aussi élevé depuis 30 ans, relève d'une véritable politique de santé publique par le développement d'une éducation sexuelle préventive et par un meilleur accompagnement des femmes. Elles demandent aussi avec insistance que soit valorisé et mieux connu l'accouchement sous le secret qui, sans être un idéal, permet la venue au monde d'un enfant qui fera le bonheur de parents en attente d'adoption.

mercredi 9 décembre 2020

La liberté d'instruction est un droit

Communiqué de presse de la CNAFC :

La liberté d'instruction est un droit

Le projet de loi " confortant les principes républicains " a été présenté aujourd'hui 9 décembre en conseil des Ministres. Il prévoit diverses mesures, notamment pour lutter contre " l'islamisme radical ". Il prévoit également de modifier les modalités actuelles de l'instruction en famille.

Les Associations Familiales Catholiques réaffirment leur attachement à la liberté d'éducation des parents qui inclut la possibilité de pratiquer l'instruction à domicile.

Elles émettent de fortes réserves sur plusieurs points du projet gouvernemental :

La liberté d'éducation n'est plus un droit dès lors que l'on passe d'un régime de déclaration à un régime d'autorisation.

L'obligation scolaire à partir de 3 ans est excessive à un âge où la vie en collectivité n'est pas indispensable. Les pays voisins qui interdisent l'école à domicile ne rendent l'école obligatoire qu'à partir de 6 ans.

Les possibilités ouvertes à l'instruction en famille restent très limitées et ne permettent pas aux parents qui le souhaitent de le faire sans justification dûment établie.

Les AFC demandent qu'une évaluation précise de la réalité du fonctionnement de l'instruction à domicile soit effectuée, à partir, par exemple des contrôles effectués ces dernières années, avant de prendre une mesure qui reste attentatoire à un principe fondamental reconnu* par les lois de la République et dont la grande majorité des familles concernées ne seraient que des victimes colatérales.

Elles seront particulièrement vigilantes à ce sujet lors du parcours législatif de ce texte de loi.


*principe de valeur constitutionnelle dégagé par le Conseil constitutionnel et par le Conseil d'État


La marque "Petit Bateau" fait la promotion des enfants sans père

Nous avons écrit à la marque "Petit Bateau" notre réprobation au nom de l'AFC Tarn Sud à leur "post" sur Facebook faisant la promotion d'un modèle de famille sans père, avec enfant sans père.

Voici la réponse que nous avons reçue :

Chez Petit Bateau, nous avons à cœur de célébrer toutes les familles quelques soient  leur composition ou leurs origines. En tant que marque, notre rôle est d’accompagner les familles au plus proche et au plus profond de ce qu’elles sont et ont envie d’être.
Les valeurs d’inclusion, de diversité, et d’amour des enfants sont les valeurs qui nous ressemblent. Notre publication vous a choqué comme d’autres personnes et nous le regrettons très sincèrement car ce n’était pas notre intention.

A très bientôt chez Petit Bateau

Nous leur répondons donc :

Pour nous, plus jamais chez Petit Bateau.