Pour sa 11ème édition, la Marche pour la Vie a montré un visage rajeuni. En France, les défenseurs de la vie sont de plus en plus nombreux, décomplexés et motivés.
Le comptage effectué par l’organisation permet d’affirmer qu’il y avait aujourd’hui au moins 50 000 marcheurs pour la vie.
A la veille de la reprise du débat parlementaire sur le nouveau délit d’entrave à l’IVG ils ont scandé leur opposition à ce texte liberticide.
A l’heure de la primaire de gauche, ils ont marqué leur volonté de défendre la vie humaine fragile, abîmée par le quinquennat de M. Hollande et dans le viseur de plusieurs candidats à la présidentielle. Enfants trisomiques éliminés en masse avant leur naissance, embryons livrés à la recherche, vies humaines supprimées par l’avortement, Vincent Lambert très grand handicapé privé de soins et menacé de mort. Les enjeux sont nombreux pour la campagne à venir.
La Marche pour la vie exige un engagement des futurs responsables politiques de réduire le nombre d’avortements en France, 220 000/an, un des chiffres les plus élevés d’Europe.
2 jeunes manifestants ont lu dans un moment solennel le Manifeste pour la vie : « Nous déclarons que tous les enfants conçus ont le droit de naître et d’être accueillis, même ceux dont les parents ne veulent pas, parce qu’ils viennent trop tôt, parce qu’ils viennent trop tard, parce qu’ils sont gênants, parce qu’ils sont handicapés, parce qu’ils n’étaient pas prévus. Parce qu’ils ne sont pas désirés. » (Extrait)
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